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Un giorno, per caso – Un jour, par hasard

Vi capitano mai quei pomeriggi lavorativi in cui c’è troppo da fare per giustificare un’assenza, ma tropo poco per dare effettivamente un senso al tempo passato in ufficio? A me è capitato di recente, un paio di settimane fa, nel mio ufficio di Losanna. Penso addirittura che piovesse, giusto per aggiungere un velo di noia circostante. E mentre ero impegnata ad annoiarmi, sul social professionale Linkedin per l’esattezza, un articolo in particolare mi ha riportata al qui ed ora. Non ricordo di cosa parlasse, non è importante. Ricordo però che, grazie a quel primo articolo, ne ho scoperti tanti altri, tutti diversi, e tutti simili. Tutti impegnati a dar voce a eventi, organismi o persone che effettivamente stavano e stanno a cuore degli autori.

A quel punto mi sono definitivamente svegliata, mi interessava solo saperne di più su questa comunità in grado di attribuire una tale importanza alla passione per l’umanità. Così ho scoperto PHI Foundation. E siccome, in modo contorto, credo che alcune casualità siano predestinate, ho mandato un curriculum vitae. Penso addirittura di averlo mandato per sbaglio in francese (come ho già detto, vivo a Losanna).

Ad ogni modo, il curriculum è arrivato a destinazione, e la curiosità deve essere stato reciproca, perché di lì a poco sono stata contattata da Sebastiano De Falco, membro di PHI Foundation. Una chiacchierata, un incontro, e il mio interesse per la fondazione e per ciò che avrei potuto svolgere grazie ad essa si è consolidato. Così adesso mi trovo qui, sempre a Losanna, a raccontare di come un giorno, per caso, mi è stata data la possibilità di scrivere per raccontare quel po’ di bene che viene fatto al mondo.

Mi chiamo Asia, ho 22 anni, vivo in Svizzera francese, e da questo momento scriverò articoli bilingui (italiano e francese) su qualsiasi cosa riesca a risvegliare la mia attenzione come quel primo articolo.

 

TRADUZIONE IN FRANCESE / TRADUCTION FRANCAISE

 

Un jour, par hasard

 

Ça vous arrive jamais de vous retrouver au boulot, alors qu’il y a trop de travail pour justifier une absence, mais en même temps trop peu pour attribuer du sens au temps passé au bureau ?  Ça m’est arrivé récemment, il y a quelques semaines, dans mon bureau de Lausanne. Je pense même qu’il pleuvait, ce qui rajoutait une couche d’ennui générale. Et pendant que j’étais occupée à m’ennuyer, sur le réseau professionnel Linkedin plus précisément, un article m’a ramenée au ici et maintenant. Je ne me rappelle pas de quoi il parlait, ce n’est pas important. Mais par contre, je me rappelle que, grâce à ce premier article, j’en ai découverts d’autres, tous différents, et tous similaires. Tous engagés pour donner une voix à des événements, des organismes, ou à des personnes dont les auteurs se souciaient et se soucient vraiment.

A cet instant-là, je me suis définitivement réveillée, mon seul intérêt étant celui d’en savoir plus à propos de cette communauté en mesure d’attribuer une telle importance à la passion pour l’humanité. Et c’est comme ça que j’ai découvert PHI Foundation. Et, étant donné que, d’une façon un peu tordue, je crois que parmi toutes les casualités, il y en a certaines qui sont prédestinées, j’ai envoyé un curriculum vitae.

Bref, mon curriculum a été bien reçu, et la curiosité doit avoir été réciproque, car pas longtemps après, j’ai été contactée par Sebastiano De Falco, membre de PHI Foundation. Une discussion, une rencontre, et mon intérêt envers la fondation et ce que j’aurai pu mettre à l’œuvre grâce à elle a été confirmé. Et donc maintenant je me retrouve là, pour raconter comment un jour, par hasard, on m’a offert la possibilité d’écrire pour raconter le bien qu’on fait au monde.

Je m’appelle Asia, j’ai 22 ans, j’habite en Suisse Romande, et à partir de ce moment je vais écrire des articles bilingues (en italien et en français) à propos de chaque chose capable de réveiller mon attention comme ce premier article.

 

PHI Foundation

Asia Fioravera